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Endocrino-psychologie

Toujours dans la poursuite de la Lymphe Cosmique… je coupe l’article à venir (Lymphe Cosmique 2) pour parler d’endocrino-psychologie et son importance déjà dans l’Hygiénisme et ensuite dans la Physiologie de la Supraconscience. Déjà on peut remarquer que le Dr Jean Gautier démontre que la Thyroïde prime sur les Surrénales, mais en lisant Jean Du Chazeau, je vois aussi que la Thyroïde et les Surrénales sont complémentaires, une espèce de dualité Yin/Yang!

J’irais presque dire que les 4 glandes se retrouvent dans le Yin (ombre/féminin)/Yang (lumière/masculin), une dualité complémentaire:

  1. Thyroïde (Vie/Chaud/Réchauffe/Alcalin/Eau/Amour/Vasodilatation/Glutamate-Muscimol?) et,
  2. Surrénales (Mort/Froid/Refroidi/Acide/Feu/Peur/Vasoconstriction/Asparte-Acide Iboténique?) avec
  3. le point Blanc (Hypophyse/Air/Cranio) et,
  4. le point Noir (Génitale/Terre/Sacré)!

Étymologie de Thyroïde: grec ancien θυρεοειδής, thyreoeidês (« semblable à un bouclier long, scutiforme »), dérivé de θυρέος, thyréos (« bouclier long », à l’origine « grosse pierre servant de porte »), thyroeidês (« semblable à une porte ») dérivé de θύρα, thýra (« porte »), avec le suffixe -ειδής, -eidês.

Voir le site d’endocrino-psychologie de Jean du Chazeau, et tu peux aller voir les vidéos sur sa chaîne utube (les interviews de F. Moine)… et surtout je te conseille de lire leurs bouquins, vraiment top! Dont celui du Dr Jean Gautier, ‘L’Enfant, cette inconnu glandulaire‘.

Cela permet aussi d’en comprendre plus sur les Psychopathes qui dirigent ce monde. Et on comprend l’origine des extraits glandulaires utilisées en Naturopathie et en Hygiénisme… mais j’aimerais surtout trouver des plantes qui permettent d’équilibrer le système endocrinien et régénérer la Thyroïde ainsi que la Génitale Interstitielle… on ira voir du côté de chez Morse car pour les Surrénales (et la Pituitaire/Hypophyse), le Dr Morse a déjà bien expliqué!

On voit aussi que la Masturbation est délétère pour la Santé (entraîne l’impuissance et la perte de Volonté), mais aussi l’éjaculation après l’andropause (ce que confirme Mantak Chia)… et qu’il vaudrait mieux qu’une femme ne se fasse pas retirer ses ovaires, siège de la génitale interstitielle feminine!

Cela explique aussi l’homosexualité et le LGBTisme, ainsi que le transgenrisme (qui est aussi relié aux perturbateurs endocriniens), et les perversions.

C’est la Thyroïde qui détoxifierait les produits chimiques, les ondes EM (CEM) et la radioactivité! (référence a trouvée)

Parathyroïde
Parathyroïde, métabolisme du Calcium, malabsorption, dépression, etc.

Les chapitres de cet article:

  • les 3 pubertés
  • les 4 glandes
  • l’attention et la volonté
  • le mensonge
  • masturbation
  • darsonvalisation
  • historique et alimentation
  • sports
  • homosexualité
  • sommeil
  • cellule de Leydig
  • physiologie de l’endocrino-psychologie
  • pour finir
  • bonclusion (plantes pour la thyroïde)
  • bonus: les races

Les 3 Pubertés

Ainsi Gautier découvrit que l’en­fant est sous la domination de la glande surrénale de 0 à 1 an, sous l’influence de la thyroïde de 1 à 7 ans, sous celle de l’hypophyse de 7 à 11 ou 12 ans, de la génitale à partir de 11 ou 12 ans.

  1. La première puberté commence le 8ème jour après la naissance pendant 3 semaines.
  2. A 10 ans, 12 ans, intervient la deuxième puberté où la génitale donne ses premiers signes fonc­tionnels et les caractères sexuels secondaires (pudeur, pilosité, attention, volonté)…
  3. puis l’apparition des cellules reproductrice (excitation sexuelle, ovulation, sentiment, préoccupation problèmes humains) se produit à la 3ème puberté. Il éprouve certains sentiments élevés, altruis­tes et de sens moral, en raison de la poussée fonctionnelle de la glande interstitielle.

Une découverte remarquable de Gautier est que le parallélisme ha­bituel entre le psychique et le somatique (ce qui est du corps) trouve enfin un point de rencontre dans le système endocrinien: c’est-à-dire que l’activité glandulaire exercera son action physiquement mais aussi psychiquement, et d’une ma­nière parfaitement analogue.

Pour arriver à la maturité reproductrice les cellules que contient la génitale doivent subir 3 transformations correspondant aux hormones qui agissent successivement sur la génitale lors de l’évolution glandulaire; donc l’influence de la surrénales jusque 1 an, puis de la thyroïde de 1 à 7 ans, puis de l’hypophyse…

Les 4 Glandes

Prenons le cas de la thyroïde. En raison de son principe d’oxy­dation, l’hormone thyroïdienne aug­mente tous les fonctionnements, tous les métabolismes. Elle est physiologiquement signe de vivacité, de rapidité, d’efficacité. De l’extrait thyroïdien sur une plaie augmen­tera la cicatrisation dans d’énormes proportions. Elle maintient nos constantes vitales et est synonyme de vie.

Les 4 glandes sont l’Hypophyse ou Pituitaire, la Thyroïde, les Surrénales, et la Génitale.

1) L’hypophyse est, comme l’a dit le Dr Gautier, synonyme de raison, de calcul, de jugement. Elle donne des possi­bilités analytiques poussées et le souci constant des causes et des ef­fets. C’est elle qui pousse à l’expéri­mentation, à l’application des chif­fres, des mesures, des formules à tout l’univers et même à l’homme. Malheureusement, ce dernier ne se laisse pas enfermer dans les concep­tions imaginées par les hypophysaires. Chez lui, le principe des causes et des effets y est fort mis à mal au profit de ce fameux principe d’équilibre. On retrouve l’incapacité à synthétiser, comme une médecine allopathique qui est incapable de voir les causes des ‘maladies’.

L’enfant devient hypophysaire vers sa 7e année. Ne dit-on pas alors qu’il atteint l’âge de raison? Physi­quement, l’action hypophysaire se manifeste par l’allongement des jambes, l’agrandissement des mains et des pieds. L’intelligence aussi se modifie. D’interrogatif, l’enfant devient raisonneur, recherche les cau­ses des phénomènes. Il s’intéresse à des questions mécaniques tandis qu’il commence à calculer et à écrire. Peu à peu. il se met à com­prendre ce qu’est un mouvement, une force, une activité, une puis­sance, une intensité… Il peut abs­traire. C’est l’hypophyse qui le lui permet.

L’hypophyse est aussi un organe des plus irrigués et des plus riches en connexions nerveuses, le mettant en relation avec toutes les parties de l’organisme. Lorsqu’on n’est pas « fort en maths », c’est que notre hypophyse est cérébralement peu puissante au profit généralement de la thyroïde qui donne plutôt des ap­titudes littéraires et Imaginatives. L’hypophyse nous permet d’avoir une scolarité souvent brillante et d’être dans la vie versé dans tout ce qui réclame science, technique, lo­gique, raisonnement mais aussi un certain flegme, du sang-froid, du calme.

Le type hypophysaire: grande taille, face triangulaire, constitution athlétique, dimension importante des mains et des pieds. Ils jouirent d’un esprit très raisonné, très calculé et très pratique. Dans l’Antiquité, les hypophysaires furent mo­raux ; leur hospitalité était grande ; l’esprit de justice régna dans les fa­milles, leurs mœurs étaient douces.  Dans l’humanité actuelle, les hy­pophysaires sont les Anglo-Saxons, Européens et Américains, les habi­tants du pourtour de la mer du Nord : Belges. Hollandais. Danois. Norvégiens.

Elle a besoin de Zinc, Brome, Manganèse qu’on trouve dans la Verveine, la Camomille, le Jasmin, les fruits, les fruits secs et betteraves…

On va voir donc que cette typologie favorise l’Hyperconscience et les comportements Psychopathes que l’on voit en haut de la Société. Roger Dommergue l’explique et le démontre parfaitement, car la cause en est la circoncision au 8ème jour après la naissance.

On peut donc aussi se poser la question sur la circoncision vers la 2ème puberté pour les peuplades musulmanes, arabes et noires… Il parait que cela coupe l’empathie au niveau de la région frontale du cerveau comme le fait la Paracétamol (attention l’éducation programme l’empathie apprise, qui est la mise en place d’une certaine morale conditionnée par l’éducation,et les us et coutumes de sa propre culture).

2) La Thyroïde est nécessaire au fonc­tionnement de chaque cellule et de chaque organe. Bien avant le sys­tème nerveux, elle fonctionne dans le fœtus dès le troisième mois de la vie intra-utérine, mais sa première ébauche se dessine dès le douzième jour de l’embryon. Elle est très vite nécessaire car elle oxyde toutes les cellules et les tissus. Elle aide ces derniers à capter l’oxygène des glo­bules rouges afin de les oxyder. L’hormone de cette glande préside donc à tous les phénomènes de combustion. La thyroïde est la glande de la vie. Lorsqu’elle ne fonctionne presque plus, c’est le coma ; lorsqu’elle est en hypo-fonction profonde, c’est le sommeil: lorsqu’elle est en revanche beau­coup trop active, c’est l’excitation permanente.

Présidant à tous les fonctionne­ments, elle active les organes des sens et est à l’origine de l’enregis­trement du langage. Celui-ci s’ac­quiert par mimétisme, par auditions répétées d’un mot. L’enfant com­mence par bredouiller, affine son effort par répétitions. Il finit par prononcer correctement vers 2 ans et demi, le mot que prononce l’en­fant est donc bien le résultat d’un travail physiologique important où préside en maîtresse la glande thy­roïde. En effet, il faut une bonne audition pour capter les sons que prononce la maman qui parle à son bébé. L’ouïe doit être en bon état et les anomalies éventuelles sont déce­lées très tôt par test en maternité. Si la thyroïde de l’enfant n’est pas suf­fisante ou présente une anomalie fonctionnelle, l’ouïe et les organes des sens vont mal fonctionner mais surtout l’enregistrement des sons ne va pas s’opérer de manière nette et rapide. La thyroïde est absolument nécessaire au fonctionnement des sens et des cellules nerveuses. C’est elle qui permet l’enregistrement cé­rébral et la mémoire. Sans thyroïde, pas d’enregistrement. L’acquisition du langage va être laborieux, émaillé de lenteurs et d’accrocs. L’enfant ne constituera son langage que très difficilement et ne parlera que très tard.

(D’où l’importance de la vocalisation, de se dire, des mantras, etc… car c’est le Chakra de l’expression, de la créativité, de la sexualité, la Thyroïde est féminine et rechauffe, les surrénales sont sa contre-partie masculine et elles refroidissent).

Le ‘mot’ appelé aussi ‘image ver­bale’, car il est bien ‘une image de la réalité’, et ‘une image parlée’, est donc constitué de sensations, de mouvements musculaires, d’une émotivité et d’une idée : c’est-à-dire qu’un mot dépend du sensitif (organe des sens), du somatique (le corps), du physiologique (le fonctionnel) et du cérébral (l’intellectuel). Ce qui nous fait apprécier l’exacte valeur d’un mot et nous en fait juger l’importance est l’affectivité.

C’est l’affectivité qui procure au mot toute son homogénéité, c’est-à-dire une correspondance par­faite entre tous les phénomènes sen­soriels, cénesthésiques (ensemble de nos sensations internes), idéatifs, moteurs, fonctionnels qui consti­tuent le mot. Ce rapport doit être aussi exact que possible et ne peut s’établir que par l’application d’une composition hormonale parfaite­ment définie en qualité et en quan­tité sur les différentes parties concernées par l’obtention d’une image verbale. Il est en effet nécessaire, pour parvenir à une unité en­tre les différents plans, qu’il y ait un liant, un point commun, une sorte de régulateur qui assure une homogénéité parfaite. Ce liant est la sécrétion de la glande génitale interstitielle qui agit comme un fixateur (régulateur?), un mordant (voir 4).

(J’ai entendu dire que c’est la Thyroïde qui détoxifie/gère les pollutions chimiques, électromagnétiques, et irradiations, et cela semble bien probable; mon expérience me le confirme, j’aimerais bien trouver la référence!).

3) Les Surrénales, c’est la thyroïde qui alerte la surrénale par voie sanguine.  La glande surrénale est indispen­sable à notre activité musculaire. Elle nous donne le tonus, la force, la puissance et les tendances à la réaction, à la combativité. Physi­quement, le sujet en reçoit une tête carrée, des épaules larges, un bassin fort, une musculature courte et vo­lumineuse, et une forte pilosité. Elle apporte des qualités de sens pratique et d’objectivité, des conceptions terre à terre à tendances matérialistes. L’imagination est fai­ble, le sens psychologique déficient et la sensibilité atténuée. Le tempérament surrénalien est guerrier et dominateur. Le sens moral est peu développé et la croyance divine ine­xistante mais il y a chez ce type une confiance absolue dans la force. Le sens artistique est fort peu accusé sauf au point de vue musical. La surrénale a en effet une action cer­taine sur le développement de l’oreille. Les extraits surrénaliens pris à haute dose produisent des sensations auditives parfois obsé­dantes où le sujet ressasse tous les airs de musique qu’il a récemment entendus.

Chez l’homme adulte, la surré­nale donne la brusquerie et la ru­desse des manières. Également une très grande activité. Le surrénalien est rustre et ne craint que plus fort que lui mais ni Dieu ni diable. Son intelligence est lourde. Il est peu bienveillant pour ses semblables. Son sentiment le plus puissant est l’instinct grégaire et il est la proie facile de toutes les hâbleries et des appels à la force. Il est querelleur, fourbe, rusé, cherchant à se venger (Gautier). Aucune réalisation intellectuelle et fort peu artistique. Ils sont comme spécialisés dans les indus­tries de guerre, l’armement et les conceptions militaires ainsi que dans toutes les méthodes de contrainte et d’asservissement (Gau­tier).

Une pareille description des sur­rénaliens n’est pas très encoura­geante pour les types surrénaliens. Mais il faut savoir que la surrénale, pour dominante qu’elle soit chez certains sujets ou certains peuples doit se trouver en équilibre avec les autres endocrines pour apporter aussi des qualités qui compensent les défauts. En réalité, nous som­mes surtout des mélanges intellec­tuels, psychologiques et moraux des différentes caractéristiques que nous confère chaque glande.

(Ici, donc, si on prend le négatif du type hypophysaire et surrénalien (plus la génitale perverse), on se retrouve avec le pire de l’humanité, on a la Psychopathie et l’Hyperconscience. Jean-Paul Franceschi dit que les Hyper-conscients n’ont pas de Creuset spirituel. En partant du bas, on a le creuset Physique/Instinctif, Émotionnel, Analytique, Spirituel.

Cela donne exactement le profil de la Circoncision du 8ème jour, des déviants sexuels (pas de moral, pas d’empathie), très peu d’émotions ou seulement de la plainte (lamentations), des hyper-analytiques/intelligents sans possibilité de synthèse, ni de créativité… bref, des menteurs, des pervers, des narcissiques, des manipulateurs, des arnaqueurs, des fous, etc… toute la panoplie de notre société, donc on peut voir que l’empoisonnement chimique et vaccinale, et mental (religion/éducation/TV), et les ondes (TV inclus) peuvent induire ce genre de typologie, donc un manque d’intelligence, voir même un abêtissement (idiocratie)… des crétins, des idiots, des imbéciles et autres gogoles).

Les 4 Creusets de la Supraconscience

4) La Génitale: glande de la volonté, faculté psychologique et morale, la volonté n’a jamais fait l’objet de recherches physiologiques. Maîtrise des pulsions sexuelles et autres désirs, elle équilibre les autres glandes et donne un individu équilibré, avec une maîtrise de l’Attention et une connexion au sens Moral. La sécrétion génitale se présente ici comme un nécessaire catalyseur, un agent qui dirige l’application des autres sécrétions spécifiques (thy­roïde, hypophyse, surrénales) sur les différentes parties.

L’attention et la volonté sont donc les résultantes des facteurs moraux très importants qui excitent la sécrétion interstitielle. Comme l’explique le docteur Gau­tier. la vivacité sécrétoire de la gé­nitale provient aussi de la répétition d’idées et d’actes bons, généreux. désintéressés qui auront été exécutés maintes fois au point d’en rendre solidaire et vivace le fonctionnement de notre glande génitale. Maîtrise des émotions et du mental, sexualité morale. La génitale peut non seulement modérer directement l’action de la thyroïde, mais susciter celle de l’hy­pophyse « raisonneuse » ; elle peut aussi restreindre la sensibilité, arrê­ter les mouvements musculaires et fixer dans l’esprit une idée morale en remplacement d’une idée éroti­que.

Quand l’idée morale associée à l’idée sexuelle jaillit dans l’esprit, il en résulte une intensification fonc­tionnelle de la génitale puisque de telles idées ont été enregistrées sous son influence. Cette sécrétion augmente dans tout l’organisme d’où elle ne disparaît que lentement. Elle se fixe sur les neurones et les cellules cérébrales affectés par l’idée morale sous forme de vibra­tions nerveuses et sur de nombreux organes. Elle fait dominer dans l’or­ganisme les agissements et les idéa-tions en conformité avec les idées morales, elle les y impose et leur permet d’y rester.

Mensonge:

L’état d’homogénéité parfaite dans la vie de relation, dans un tra­vail ou dans l’image verbale est l’état de franchise et de vérité. Quand la génitale interstitielle n’intervient pas dans son effet de régu­lation, il peut s’établir « l’état de mensonge », c’est-à-dire la non-concordance du mot, de l’activité avec l’état émotionnel et affectif du sujet. Cet état qui a paru fort éton­nant, certains sujets pouvant mentir contre leur intérêt, se retrouve par­fois chez l’enfant et toujours dans les névroses. Le mensonge persistant, comme l’explique le docteur Gautier, a pour origine une activité génitale interstitielle des plus faibles ou qui peut-être détournée de son objet. C’est toujours une menace pour la santé mentale et morale d’un sujet.

Dans la genèse de l’individu, la première puberté, au 8e jour, a eu pour objet la mise à niveau de la glande génitale interstitielle en lui infligeant une première et grande stimulation. Cette activité glandu­laire a permis d’acquérir, au début de la vie, des activités fonctionnel­les avec toute l’exactitude néces­saire et tout particulièrement des images verbales (mots) bien consti­tuées avec un langage bien formé. Lors de la deu­xième puberté, vers 11-12 ans. les propriétés de la génitale n’ont pas changé mais sa puissance s’est ac­crue et est devenue beaucoup plus précise. Elle va obtenir des effets qui nous semblent bien différents mais qui sont pourtant les mêmes : la génitale va pouvoir agir sur des idées c’est-à-dire la réémergence de nos premières sensations au lieu d’agir directement sur les sen­sations que nous procure le monde extérieur.

C’est à cette époque de la vie que l’esprit va pouvoir se développer ou bien, au contraire, marquer un coup d’arrêt si la, sexualité vient prendre trop d’importance. C’est en effet à la deuxième puberté que s’opère le développement des organes géni­taux. La génitale interstitielle y joue un rôle mais elle ne retombe pas dans l’inaction une fois cette tâche accomplie. Son action va se poursuivre dans le sens intellectuel et moral à moins que la préoccupation de jouissance sexuelle ne survienne et n’obnubile le sujet au point de le priver peu à peu de ses possibilités réalisatrices.

Outre la grande importance de cette fonction pour notre descen­dance, on peut aisément concevoir qu’elle n’a pas besoin d’avoir à son service unique toute une glande endocrine qui a, de plus et en tant qu’endocrine, le pouvoir d’agir sur le corps entier et non pas sur la seule sexualité. Peut-on dire alors que la génitale est la glande de la sexualité ? On peut dire non. Certes, la sécrétion génitale joue un rôle certain de maturation sexuelle au moment de la deuxième puberté vers l’âge de 12 ans. Mais son rôle essentiel va bien au delà.

Pour le Dr Gautier, c’est la glande spécifique­ment humaine car elle agit éminem­ment sur l’équilibre, la volonté, le sens moral, l’intelligence, qualités qu’on peut contester aux animaux. Non que l’animal n’ait pas une gé­nitale endocrine, mais son rôle se limite à une simple fonction repro­ductrice, étant soumise à une alter­nance systématique selon l’état de rut ou de latence sexuelle (voir Vie Claire avril 85). Or l’Homme n’est pas soumis à cette alternance ins­tinctive. L’instinct, chez l’Homme. est remplacé par son – auto­détermination – c’est-à-dire sa li­berté. Et si, chez l’animal la pul­sion sexuelle est pré-réglée instincti­vement sans le pouvoir de s’y op­poser, chez l’Homme la « pulsion » sexuelle n’est pas un instinct indomptable mais une tendance sou­mise à sa liberté, à sa volonté et c’est précisément cette glande endo­crine génitale qui intervient chez l’Homme pour « incarner » la li­berté et le contrôle de soi, alors que chez l’animal, elle entérine au contraire son instinct inéluctable. Et cela suffisait à montrer solidement l’opposition fonctionnelle, chez l’homme comme chez l’animal, en­tre « sexualité » et glande génitale.

Masturbation:

La question de la masturbation relève de la question de l’origine du plaisir sexuel. Nous sommes dans l’ignorance officielle à ce sujet alors que le Dr Gautier a éclairci cette question depuis fort longtemps. Sans en refaire ici la démonstration, le plaisir sexuel dépend entièrement de la glande thyroïde et de sa sen­sibilité fonctionnelle. Cependant des sujets thyroïdiens peuvent être frigi­des ou impuissants en raison d’un manque de réceptivité des tissus se­xuels aux hormones thyroïdiennes ; rien n’est simple dans le corps hu­main car tout y est équilibre.

Ce qui pousse un sujet à la masturbation est l’attirance de la jouissance sexuelle. Certes, deux êtres de sexe opposé peuvent aussi s’unir, attirés seule­ment par une jouissance sexuelle ré­ciproque mais ce qui fait le réel danger de la masturbation est l’im­possibilité pour la génitale intersti­tielle de s’en trouver activée ou sti­mulée. Tandis que toute relation se­xuelle naturelle implique nécessaire­ment deux êtres qui se donnent l’un à l’autre dans une relation d’amour, au moins physique, dans la mastur­bation solitaire ou pas, il n’existe pas de relation, d’altruisme, de communication.

Le sujet s’enferme en lui-même dans une jouissance égoïste dont la thyroïde supporte presque toute seule toute la dépense énergétique sans qu’il y ait un contre-balancement sentimental ou physique de la génitale endocrine. La masturbation met en cause une hyper-excitabilité de la thyroïde (avec tous les signes somatiques qui lui sont propres) et une excitation spécifique des tissus reproducteurs de la glande génitale. Elle produit en outre une hyper-émotivité perma­nente et une désadaptation aux cho­ses et aux êtres (chosification).

Elle aboutit néces­sairement à un déséquilibre profond de la thyroïde qui finit par faire ca­valier seul en se défaisant peu à peu de l’influence régulatrice et volon­taire de la génitale interstitielle. La thyroïde finit par se « spécialiser » dans le fonctionnement de jouis­sance sexuelle en créant un appel quasi permanent à la jouissance qui devient alors un besoin, comme une drogue. La question de la drogue aboutit d’ailleurs exactement aux mêmes processus psycho-endocri­niens. La masturbation aboutit im­manquablement à la désadaptation et au déséquilibre psycho-­endocrinien.

Darsonvalisation:

La darsonvalisation, nom dû au procédé découvert par d’Arsonval (l’électrothérapie par les courants à haute fréquence) au siècle dernier agit sur toutes nos glandes en les régularisant, c’est-à- . dire en excitant celles qui en ont besoin et en freinant celles qui doi­vent l’être : ainsi se crée de façon naturelle et comme allant de soi une rééquilibration glandulaire en quel­ques mois et de façon durable.

La darsonvalisation est donc cette énergie vraiment irremplaçable qui remet, par des fréquences bien défi­nies, cet équilibre à la portée de tous et de chacun. Pour ce qui est de l’action plus spécifique sur l’hy­pophyse, la darsonvalisation sera re­commandée pour les écoliers en retard, mauvais élèves, faibles ou nuls en mathématiques, et qui se retrou­veront après quelques mois avec une intelligence étonnamment stimu­lée. Il ne faut pas oublier, enfin, que nos programmes scolaires, et ce n’est pas forcément un bien, sont tous faits pour que réussissent les enfants dont l’hypophyse fonctionne bien.

Le docteur Gautier avait mis au point sa méthode par électri­cité de haute fréquence à partir du principe de d’Arsonval. Je voudrais terminer en signa­lant qu’il y a déjà plus de 50 ans que le docteur Jean Gautier réalisait des rééquilibrations glandulaires spectaculaires en seulement quel­ques mois par application de cou­rants Haute Fréquence selon la méthode découverte par le grand sa­vant Arsène d’Arsonval en 1891.

Malheureusement, la conférence internationale d’Atlantic City en 1947 attribua officiellement certai­nes longueurs d’onde pour les appa­reils de soins médicaux. La darsonvalisation ne faisait pas partie de ces longueurs d’onde pour cause de pol­lution hertzienne. Le Dr Gautier dut abandonner cène thérapeutique ex­trêmement prometteuse. Ou il eut fallu qu’il se rabattît sur l’utilisation d’ondes beaucoup plus courtes. II ne le voulut pas car les résultats thérapeutiques étaient presque nuls. Gautier développa alors sa méthode de traitements par extraits glandulaires  dessiqués (de 1 à 40g par jour) beaucoup plus longs et moins efficaces. (Alors d’après le bouquin de Gautier, c’est des extraits hormonales liquides d’animaux).

Il est actuellement possible de faire des applications de darsonvalisation en munissant les appareils de protections étanches aux rayonnements de haute fréquence. La darsonvalisation reste le seul moyen, puissant et efficace, de procéder à des transformations réelles de l’équilibre endocrinien ; elle a les plus heureux effets non seulement sur les symptômes purement physi­ques mais particulièrement sur notre esprit. Elle réussit tout spécialement chez les enfants en difficultés sco­laires et/ou caractérielles. La darsonvalisation ou diathermie à moyennes fréquences agit en repro­duisant les fonctionnements que su­bit l’organisme au moment des pu­bertés : effervescence endocrinienne où les glandes trop actives se modè­rent et où les insuffisantes s’exci­tent. Enfin, l’un des résultats les plus remarquables de cette merveilleuse thérapeutique est de parvenir à un bon développement de la glande interstitielle génitale dont l’action générale sur notre esprit et notre in­telligence est exceptionnelle comme l’a démontré le Dr Gautier depuis plus de 40 ans. En conclusion on peut dire que la darsonvalisation re­présente un espoir sans pareil pour rendre l’équilibre aux organismes plus ou moins délabrés et pour sus­citer une intelligence plus efficiente.

Donc, il est possible que les fréquences remplacent le travail des glandes (ou stimulent); comme les extraits glandulaires (les tissus de glandes animales)  (que le Dr Morse peut conseiller d’utiliser) stimulent la mémoire cellulaires des glandes et des cellules des glandes pour aider à guérir. Et le Dr Gautier prenait entre 1g et 40g/jour d’extraits thyroïdiens. Attention, ce n’est pas des hormones thyroïdiennes synthétiques comme en médecine allopathique, mais  des extraits d’hormones animales. Donc cela devait aider à nettoyer la lymphe et le corps. Il semble qu’il en soit de même pour les plantes (Dr Morse) qui aideraient fondamentalement à régénérer pour de bon; Morse dit que les plantes ont une vibration/fréquence, mais surtout qu’elles ont une conscience. Il serait, ici encore, possible de voir et vérifier avec l’Iridologie l’efficacité de la darsonvalisation! Car souvent les traitements classiques doivent être répété régulièrement, ne faisant que traiter des symptômes sans résoudre la cause (apparemment les changements sont permanents avec la darsonvalisation, reste à voir si cela endommage les glandes et il faut entre 10 et 30 séances).

Je pourrais même aller jusqu’au fait qu’il serait utile de manger des abats (gésiers notamment pour la thyroïde)… cru?! Et d’ailleurs le Dr Gautier le confirme. On pourrait acheter des glandes d’animaux (en Bio), les couper, les mettre au déshydrateur et en faire de la poudre.

Historique et Alimentation:

Dès 1912, une fabrique de dents artificielles avait fait paraître un opuscule sur l’harmonie des formes dentaires et leur correspondance avec la morphologie crânienne, Il y avait 4 formes de dents comme il existait 4 formes de têtes. Le doc­teur Gautier, dont les idées ne sont pas inconnues des lecteurs de La Vie Claire, en fut très intrigué. Il se plongea à fond et passionnément dans l’étude des glandes endocrines à laquelle l’avait initié son maître vénéré le Professeur Mongour, de Bordeaux.

Dès 1935, après 15 années de re­cherches, les 4 types glandulaires étaient découverts et décrits de fa­çon très précise. D’autres auteurs tels les Dr Léopold-Lévi et Pascault et plus récemment aux U.S.A. le Dr Bielher ont décrit certaines caracté­ristiques glandulaires, mais aucun n’a établi une classification aussi complète. Cette clé, l’existence de types glandulaires, vient de servir effica­cement à un médecin américain, le Dr Abravanel qui, à force d’observa­tions, a trouvé pourquoi les régimes amaigrissants ne peuvent servir uni­formément à chacun et bien souvent échouent. Il existe, selon lui, des aliments spécifiques qui excitent notre glande dominante. (Voir les 4 types sanguins?).

Par exemple le surrénalien devra éviter de recourir sans cesse aux aliments qui sont excitants pour sa glande dominante à savoir les aliments salés et riches en cholestérol : viande, beurre, œufs. Le thyroïdien devra éviter, lui, les aliments qu’il affectionne : les amidons (farines, céréales et su­cres). Le premier devra insister da­vantage sur les amidons et le second sur les aliments salés… Il y a l’hypophysaire qui aime tout particulièrement les produits laitiers qui sti­mulent l’hypophyse ; il devra se ra­battre sur les aliments des autres ty­pes glandulaires en supprimant pres­que totalement les produits laitiers. De même pour le type gonadal qui est attiré par les épices, les graisses, les huiles et tout ce qui est crémeux. Il devra supprimer ces aliments et utiliser les autres de façon équili­brée. Le Dr Abravanel a trouvé les régimes spécifiques à chaque Type et qui réussissent parfaitement à faire maigrir ceux et celles qui sont sur le chemin de l’obésité (1).

Dans le livre de Gautier, il touche un peu à l’alimentation. Les fruits et légumes crus sont mentionnés, la viande chez les hypo-thyroïdiens, plus les inepties classiques du système.

« De temps en temps il sera donné quelques viscères: foie, rate, cervelle, cœur, rein, qui constitueront une sorte d’orthothérapie non négligeable ».

Le germe de blé qui pour lui a permis les découvertes par les civilisations Sumérienne, Égyptienne et Grecque. Le germe de blé contient de la Vitamine E qui agit sur l’hypophyse et l’interstitielle (donc le pain complet est mieux, surtout les variétés anciennes). On retrouve donc l’engouement du jus d’herbe de blé (non recommandé par le Dr Morse) et d’orge (ce dernier étant vraiment intéressant).

la Vitamine E est anti-oxydante, elle est importante contre la Parkinson, Alzheimer, la Dépression, les Myopathies, etc. On la retrouve dans la Figue, (huiles) le germe de blé, l’argousier, l’argan, le tournesol, l’olive, l’amande; les légumes verts, le beurre, les poisons gras, la mûre, l’arachide frais, l’asperge, l’avocat, le cassis, l’épinard, le persil, l’œuf, le fromage, et la crème fraîche.

Sports:

La thyroïde ap­porte vitesse, soudaineté, étendue, rythme, souplesse. La surrénale donne au muscle sa puissance, sa force de contraction. L’hypophyse apporte ténacité et résistance. La génitale confère l’adresse, la préci­sion, l’exactitude des effets à pro­duire. Au point de vue compétition sportive, l’art chorégraphique sera le domaine et même le monopole des thyroïdiens ainsi que la course de vitesse. Pour les surrénaliens : le lancé de poids, le catch, la lutte. Pour les hypophysaires : le cy­clisme, la course de fond. Tous les sportifs cyclistes sont des hypophy­saires. Enfin pour les génitaux, des sports qui demandent adresse et pré­cision : judo, escrime… Un thyroïdien ne doit pas s’engager dans une aventure d’alpinistes où la résistance, l’endurance seront les qualités presque essentiel­les ; à moins qu’il n’ait une bonne hypophyse. Le surrénalien n’a pas intérêt à se lancer dans une compéti­tion d’escrime à moins qu’il n’ait une bonne génitale. Le génital ne sera pas un bon danseur s’il n’est pas soutenu par une thyroïde très active lui conférant souplesse, rapi­dité et sens du rythme, etc.

  • Activité grande, agitation, vivacité = thyroïdien.
  • Activité débordante, jamais de fati­gue, grande puissance musculaire = hyper-surrénalien.
  • Grande activité, grande résistance, sportif = hypophysaire. Grande activité mais fatigable = hyper-hépatique.
  • Fatigue excessive et continue, som­nolence invincible dans la journée = hypo-surrenalien.
  • Grosse fatigue habituelle, tendance à la dépression, apathie, phobie, an­goisses, tristesse = hypo-thyroïdien.
  • Fatigue moyenne et continue, sur­tout le matin, ou par accès brusques dans la journée avec tendances aux syncopes, aux faiblesses = hypo-­thyroïdien.
  • Fatigabilité intellectuelle = hypo­-thyroïdien et hypo-génital.

L’activité physique, le sport, la course, à pied par exemple (footing) ont acquis une vogue certaine de­puis quelques années. On s’est rendu compte que l’exercice physi­que était un facteur de santé excep­tionnel, surtout pour éviter les en­crassements cardio-vasculaires. Le sport agit sur nos glandes et procure à notre organisme ce qu’on appelle la forme et à notre esprit, le calme et un certain bien-être intérieur. Le sport peut aussi être une forme de thérapeutique générale de certains troubles à la fois physiques et psy­chologiques. On constate, après un bon exercice physique, que le ner­veux se calme, l’angoissé s’apaise, le tendu se décontracte… Le sport agit donc à la fois sur la sphère purement organique mais aussi sur l’ensemble de notre personnalité psychologique ; c’est par l’intermé­diaire des glandes endocrines que l’exercice physique systématique ou le sport agissent sur toute la person­nalité.

En effet, un exercice modéré ne manque pas d’exciter la thyroïde puisque celle-ci dirige l’élaboration de l’acide lactique nécessaire à la contraction musculaire. D’où son abondance plus grande dans la cir­culation sur le cerveau, donnant des dispositions imaginatives plus gran­des, une meilleure élocution, ce que les rhéteurs grecs recherchaient par­ticulièrement.

Rentrons un peu dans les détails pour montrer le « travail » passion­nant qu’effectuent nos glandes en­docrines dans nos comportements généraux mais surtout dans les exer­cices physiques. Nous savons bien que l’influx nerveux et les substan­ces nutritives apportées aux muscles par le sang sont bien insuffisants pour permettre un exercice de quel­que durée. Les hormones doivent intervenir. Elles sont indispensa­bles.

L’adrénaline intervient pour neutraliser l’acide lactique que pro­duit l’excitation musculaire. Tandis que les tissus sont imprégnés d’adrénaline, les vaisseaux et les ca­pillaires se dilatent. Habituellement pourtant, cette hormone de la médullo-surrénale rétrécit les vais­seaux (vaso-contrition). Mais en quantité extrêmement faible, elle possède une action paradoxale de légère dilatation (vaso-dilatation). Elle augmente aussi légèrement la tension artérielle interne et rend la respiration plus profonde. La thy­roïde intervient : elle oxyde les fi­bres musculaires et accélère la vi­tesse des mouvements car elle augmente la vitesse des contractions (chronaxie). Elle dilate alors les ca­pillaires si l’exercice s’intensifie. Elle rend les mouvements respira­toires et cardiaques plus rapides et agit en même temps sur la diges­tion, sur le foie, le pancréas, les sécrétions intestinales. Elle passe dans les vaisseaux lymphatiques où elle développe la phagocytose (ab­sorption et digestion des microbes par les globules blancs qui se trou­vent très activés).

Ces deux sécrétions agissent éga­lement sur le cerveau du sportif. Dans une partie de tennis, la résis­tance, la vivacité du joueur doivent bien s’allier à l’esprit pour cons­truire son attaque ou sa défense. Tandis que la thyroïde donne au joueur un peu d’imagination, avec l’ingéniosité et une certaine adresse, la surrénale l’empêche d’imaginer les coups fantaisistes mais le conduit à ne tenter que les points les plus réalistes afin de réussir. Si l’ef­fort musculaire persiste, la chaleur du corps augmente et aussi la respi­ration. La vapeur d’eau s’exhale par les poumons.

Pour lutter contre la température, la thyroïde, par voie nerveuse, excite les glandes sudoripares et les membres se couvrent de sueur. La surrénale intervient alors pour abais­ser la température organique. La partie finie, tout en sueur, notre joueur éprouve une impression de froid. Il s’éponge, se couvre ; la thyroïde arrête alors son activité pé­riphérique afin de supprimer trans­piration et vaso-dilatation externe et reporter son oxydation sur la partie interne de l’organisme.

Homosexualité:

La question de l’homosexualité est un peu plus compliquée mais se ramène aux mêmes processus. L’at­tirance d’un sujet pour le même sexe ne relève pas tant d’un déter­minisme endocrinien absolu et iné­luctable mais d’une tendance contre laquelle un sujet n’a pas lutté lors­qu’elle s’est présentée en raison d’une thyroïde par trop active sur les organes génitaux. Tendance qu’il a peut-être même entretenue. Dans l’homosexualité avérée, il y a toujours, pour Gautier, faiblesse de la glande génitale interstitielle dont l’hormone procure les attributs se­xuels propres au sujet d’un sexe donné. La glande du plaisir sexuel est la thyroïde et c’est elle qui, sou­vent prédominante, fait découvrir très tôt au sujet l’excitation se­xuelle. Si l’éducation, la surveil­lance ou les vétos parentaux néces­saires — contrairement aux dires des Freudiens — n’interviennent pas pour contrer des manifestations « sexuelles » intempestives de leur rejeton, celui-ci pourra contracter des habitudes masturbatoires qui le poursuivront longtemps à son grand détriment.

Étant donné que le pic sécrétoire maximum de la thyroïde est dans la vie humaine à l’âge de 5 ans, c’est à ce moment-là qu’il faut surveiller les enfants, toutefois sans obsession particulière. Si de telles habitudes, apanage d’une vivace thyroïde dès le bas âge, se poursuivent, cette dernière va finir par masquer le dé­veloppement de la génitale intersti­tielle et nous aurons des sujets thy­roïdiens à faible génitale c’est-à-dire aux attributs de leur sexe émoussés : par exemple, garçon efféminé et au maniérisme provenant d’une menta­lité efféminée due à une thyroïde qui a fait cavalier seul c’est-à-dire qui s’est défaite d’une bonne influence de la sécrétion génitale.

Selon le Dr Gautier, ces sujets, presque tou­jours masturbateurs finissent par trouver des compagnons ou des complices de leurs actes de plaisir et leurs relations homosexuelles ne confinent plus qu’à la jouissance se­xuelle. Une certaine sentimentalité contre nature peut accompagner ce genre de relation, mais elle ne suffît pas à préserver l’efficacité et l’inté­grité de la glande génitale qui ne s’en trouve pas renforcée mais amoindrie ; car la glande génitale nous porte naturellement vers’ l’amour de l’autre sexe comme vers tous les amours sentimentaux non sexuels. La jouissance sexuelle ne fait qu’exciter et développer toute la partie reproductrice de la génitale (surtout chez l’homme) au grand dé­triment de la partie interstitielle endocrine. Au fond, les homosexuels sont des hypo-génitaux interstitiels.

Lorsque des rapports hétérose­xuels ont lieu une fois ou l’autre, c’est généralement pour constater un échec retentissant car les condi­tions de jouissance ne sont pas les mêmes et impliquent des fonction­nements psycho-endocriniens un peu différents qui ne sont pas re­trouvés dans les rapports normaux, d’où échec. Les homosexuels ont alors tendance à se cantonner dans ce mode de relations et tournent à la misogynie car ils ont tendance à faire porter aux femmes la responsa­bilité de leur échec d’une part, et d’autre part leur faiblesse génitale les détourne d’un sexe opposé qui les déroute et auquel ils ne com­prennent pas grand-chose.

On peut dire que les déviances sexuelles en général, dès lors qu’el­les ne s’inscrivent plus dans la loi naturelle ne rentrent plus dans le domaine réel de la sexualité mais s’en éloignent au contraire très net­tement. Aussi devons-nous garder aux mots un sens exact et plénier car ces derniers désignent des réali­tés auxquelles nous devons nous soumettre harmonieusement sous peine de dés-adaptation, tandis que les mêmes mots employés pour ex­primer des déviances nous leurrent et mettent sur le même plan dé­viants et non-déviants. C’est la même erreur profonde qui a fait ac­créditer l’idée ancienne qu’entre fo­lie et génie il n’existait qu’une mince frontière. Et c’est encore l’approche psycho-endocrinienne des phénomènes humains qui nous inscrivent dans la réalité en nous montrant au mieux le chemin de la liberté comme celui de notre meil­leure adaptation à la vie.

Roger Dommergue dit bien que les eunuques sont les pires des déviants

« Aujourd’hui où ‘les hypo-interstiels supérieurs‘ règnent et rendent de plus en plus folle et déchirée la masse des humains, tout n’est-il pas désormais intégralement déterministe jusqu’à la fin de cette humanité hypophysaire, jusqu’à la troisième guerre mondiale et la pollution générale ?

Hyper-hypophysaires, hyper-thyroïdiens, hyper-génitaux reproducteurs physiologiques, mais hypo-interstitiels: spéculatifs brillants mais a-moraux et a-synthétiques. ‘Et le monde sera dirigé par des monstresnous dit l’Apocalypse ».

Sommeil:

Pendant le sommeil, il y a ‘insuffisances’ glandulaires: le signal de l’endormissement est donnée par la thyroï­de.

  • La génitale interstitielle, qui permet la puissance volontaire et la stabilité émotive en vie de veille n’a rien à faire durant le sommeil : elle est au repos absolu.
  • L’hypophyse, pendant ce temps, est assez paresseuse puisqu’elle ne doit plus assurer que certains métabolismes de nutrition, de division ou de régénération cellu­laire.
  • ​La surrénale doit agir encore un peu au point de vue cellulaire pour éliminer des organes l’oxy­gène qui s’y trouve encore en excès.
  • La thyroïde doit oxyder les éléments hydrogénés et achever la destruction complète des pro­duits du catabolisme (déchets) pour les réduire à des éléments biochimiques susceptibles d’être éliminés par les reins.

Il est intéressant de voir les implications de la Thyroïde dans le sommeil: le somnambulisme, l’hypnotisme, la voyance, le rêve, la mort subite du nourrisson (arrêt thyroïdien)… cela doit rentrer en compte lors de la Supraconscience. C’est aussi la Thyroïde qui domine/stimule/allume les surrénales… alors que Morse dit que les Surrénales priment, surtout qu’elles gèrent les reins, donc la sortie des poubelles, et cela se voit en Iridologie et sur beaucoup de monde, beaucoup plus que la Thyroïde, c’est pour cela que le Dr Morse dit que les surrénales priment… mais attention donc, le rôle de la Thyroïde semble aussi important! Même si elles semblent travailler de concert (en harmonie)!

« Dans les experiences de Cannon, la thyroïde alerte la surrénale. » — p29 l’Enfant, ce glandulaire inconnu

Malheureusement l’Endocrino-Psychologie ne tiens pas compte d’une alimentation vivante (même si Gautier conseille fruits et germe de blé)  (voir aussi alcool: à petite dose, l’al­cool stimule la glande thyroïde… le fameux vers de vin par jour!), même si la technique de base sont les fréquences magnétiques en MHZ avec l’appareil d’Arsonval, sur une dizaine (vingtaine, trentaine!) de séances. Ils ne semblent pas avoir de méthodes naturelles de guérison, c’est là que la régénération du Dr Morse intervient, avec aussi des pratiques comme le Yoga, le Chant, la Danse, la Méditation et autres Taï-chi, Neidan….

Jean-Paul Franceschi a beau dire que le Mental est supérieur au reste et que cela suffit… n’est-il pas soumis aux Lois naturelles de la Biologie et de la Physiologie… si Jean-Paul fait de l’Hypertension (cigarette sur thyroïde= fatigue thyroïdienne et surrénalienne) et qu’il n’arrive pas à se guérir par lui-même! Ok, possible que cela soit son addiction à l’Ice Tea à l’Aspartame?! Mais aussi la respiration forcée?

Je sais que la Méthode Wim Hof peut fatiguer les surrénales, ça demande de l’energie de maintenir la respiration… les gens avec une lymphe figée ont mal aux membres dans l’eau froide et du mal à s’y faire! La sur-oxygénation (oxyde nitrique) va nettoyer le corps, mais seulement si la thyroïde peut sur-oxyder le métabolisme cellulaire… Cela va dépendre de l’état de ta thyroïde et de tes surrénales, cela se voit en Iridologie. On sait que la Supraconscience est un état de sommeil (‘hypo-thyroïde’) paradoxal éveillé

Est-ce que cela fatigue aussi la Thyroïde et/ou les Surrénales…  La Respiration et la Relaxation devrait aussi nettoyer… on le constate dans les techniques de Wim Hof.

Il semble y avoir une relation avec la fatigue de ses glandes, car forcément, la Supraconscience demande des processus physiologiques, donc glandulaires… forcer la respiration n’est pas naturelle, même si à un moment donné, un cycle naturelle respiratoire peut s’enclencher.

Et il y a une relation certaine avec la pollution et l’empoisonnement de nos corps! Même si je conçois que n’importe qui à n’importe quel moment peux atteindre la Supraconscience… Il y a des facteurs à prendre en compte, facteur environnementaux (stress, JP le dit bien!), facteur interne, facteur de Volonté (glande génitale), karma, cristallisations mentales, peurs, etc… Donc, voilà, je pose ses questions et je reste ouvert à tout.

Cellule de Leydig:

Les cellules de Leydig, aussi nommées cellules interstitielles, contrôlent le développement et le maintien des caractères sexuels primaires et secondaires, et jouent un rôle dans le fonctionnement de l’appareil reproducteur masculin et le comportement sexuel. Des cellules lymphatiques?!! Ci-dessous, on voit donc cette relation entre l’Hypophyse et la Génitale… dont par le Dr. Gautier.

Coupe d’une testicule… les tubes séminipares en spermatogenèse, les points sont les îlots de cellules interstitielles…

Entourées d’un tissu conjonctif lâche, elles produisent et sécrètent environ 85 % de la testostérone chez l’homme (les 15 % restant viennent des glandes surrénales, ce qui explique que les femmes aient aussi une faible quantité de testostérone), et ceci en présence de luteinizing hormone (LH), depuis l’Hypophyse. La testostérone peut diffuser vers les tubes séminifères. Elles sécrètent aussi de l’androstènedione, et de la déhydroépiandrostérone (DHEA: Hormone de la Jeunesse!). La testostérone produite par ces cellules permet, au stade fœtal, le développement des canaux de Wolff (en relation avec les reins!).

Les cellules de Leydig humaines, contrairement à celles de la plupart des mammifères, accumulent en leur sein, au cours du vieillissement, des structures évoquant un cristal très allongées : les cristalloïdes de Reinke. La fonction de ces organites est inconnue… Intéressant… le Cancer de la prostate pourrait dériver de cela?

La Cristallisation est clairement un processus d’agglomération par acidification avec l’age… et il y a donc blocage de la Génitale, Atrophie?

Physiologie de l’endocrino-psychologie

« Le cœur fœtale se met à battre sans posséder de nerf. Vers le 4e mois de la grossesse le cœur se met à battre à quelque 140 pulsations minutes. Il ne possède pourtant aucun nerf. Rien que quelques cellules nerveuses disséminées. C’est donc la thyroïde fœtale et maternelle qui donne à ce cœur une vitesse que l’on ne retrouve que dans l’hyperthyroïdie comme le Basedow » — p34 l’Enfant, ce glandulaire inconnu

« Rappelons encore une fois, qu’avant le 9e mois de la vie, l’enfant ne possède aucun de ses centres nerveux automatiques myélinisés, qu’au jour de sa naissance, seule la partie externe des cordons de Goll et de Burdach est myélinisée. Ainsi toute la partie encéphalique du système nerveux est vierge et le restera encore bien longtemps… Le système glandulaire va donc procéder à l’enregistrement des cellules cérébrales pour y fixer les souvenirs automatiques. Ce travail de fixation s’accomplira tant que les glandes resteront actives, c’est-à-dire jusque vers 50 ans. C’est pourquoi tous les hommes meurent avec un nombre plus ou moins grand de cellules cérébrales vierges. Nombreuses encore chez l’homme évolué (dit civilisé), il est considérable, occupant plus des 3/4 du cerveau chez les sujets primitifs même si leur instruction a été très poussée, comme pour les indigènes instruits dans nos facultés. Ce ne sont pas les livresques qui occupent un grande place dans le cerveau, mais les possibilités d’élaboration psychologique. » — p52-53 l’Enfant, ce glandulaire inconnu

«L’action de la thyroïde ne se restreint pas à l’émotion génératrice de mouvement. Elle accomplit toute la synergie en agissant à la fois sur tous les organes qui participent au mouvement. Elle permet l’oxydation des réserves de sucre organique qui se trouvent dans les fibres musculaires. Elle  a charge les hématies d’oxygène. Tant que les globules rouges se trouvent dans un sang chargé de la même quantité d’hormone thyroïdienne, ils conservent ce gaz. Dès que l’hormone thyroïdienne est fixée par les fibres musculaires, la quantité de cette hormone diminuant dans le sang, les globules rouges abandonnent l’oxygène. Elle se fixe sur le sucre des cellules musculaires, le transformant principalement en acide lactique, cela fait contracter le muscle. Tous les éléments organiques: nerfs moteurs et sensitifs, vaisseaux, subissent des transformations. Les vaisseaux se dilatent pour augmenter l’apport d’oxygène; les nerfs reçoivent des excitations qu’ils transmettent à des centres nerveux plus ou moins importants d’où résulteront des enregistrements dont la répétition aboutira à un automatisme. » — p63 l’Enfant, ce glandulaire inconnu

« C’est le système nerveux qui nous permet d’accumuler toutes nos experiences physiques et intellectuelles sous forme de souvenirs. Tous nos mouvements, émotions, activités, toutes nos acquisitions intellectuelles s’inscrivent dans le système nerveux.

Il permet non seulement de fixer les souvenirs, mais de les perfectionner, d’en supprimer toutes les hesitations et tous les tâtonnements pour n’en conserver que l’essentiel dans ce qu’il a de plus utile et de mieux adapter aux circonstances. L’enregistrement de ces souvenirs ne s’effectue que d’une manière lente et progressive. Ce n’est que lorsque l’un d’eux est bien établi que nous pouvons passer au suivant, appartenant au même genre. Il semble que ces enregistrements soient tellement importants pour nos personnalités, qu’ils retardent notre croissance et notre évolution par rapport aux animaux. Nous enregistrons ainsi toutes sortes de souvenirs, des mouvements, des émotions, des mots, des sentiments, des notions d’objectivité, de lieux, de temps, des connaissances, des plus simples aux plus complexes. A la base de tous ces enregistrements intervient toujours un même phénomène foncier: l’intervention de la thyroïde. C’est elle qui procure l’oxydation indispensable à toutes les cellules lors d’un fonctionnement ou d’une activité, et en même temps à l’enregistrement qui s’y rapporte.

N’oublions pas que l’opéré total de la thyroïde perd toutes ses possibilités d’enregistrer des souvenirs et toute acquisition nouvelle, tant au point de vue physique qu’intellectuel. Il ne les retrouve que par de fortes doses d’extrait thyroïdien. Par conséquent, c’est bien la thyroïde qui est déterminante de l’enregistrement de tous nos souvenirs et de leur rappel. Elle équivaut pour l’être humain au souvenir lui-même puisqu’elle en est la cause directe.

Toutes ces particularités de nos activités efficientes et leur enregistrement proviennent d’une application de la sécrétion thyroïdienne à la fois à tout l’organisme et à toute la personnalité.

On peut concevoir cet enregistrement de la manière suivante: à partir des sensations, des mouvements musculaires, de l’état émotionnel, de l’activité qui se produisent en raison de l’oxydation cellulaire; naissent des vibrations dont la nature n’a pas encore été déterminée par la science, probablement une électricité particulière; ces vibrations (proprioception) parcourent les nerfs sensitifs pour aboutir aux cellules nerveuses afin de s’y enregistrer grâce à l’hormone thyroïdienne présente. Il existe donc trois éléments de l’enregistrement: des vibrations provenant des sensations et des activités, l’hormone thyroïdienne et la cellule nerveuse. Si les vibrations atteignent un ganglion où une partie basse du système nerveux où une partie de l’activité est déjà enregistrée, les vibrations se rendent plus haut jusqu’au moment où elles rencontrent des cellules nerveuses vierges. Ce sont ces dernières qui fixent les vibrations grâce aux hormones.» — p74-76 l’Enfant, ce glandulaire inconnu

Pour finir

De Part l’embryologie déjà, le Dr Jean Gautier récuse magistralement la primauté du cerveau!  Il debunke Freud! Il démontre que c’est les hormones thyroïdiennes qui programment le système nerveux; la Thyroïde est la tête de lecture, et le cerveau le stockage mémoire. On rejoint le concept des Molécules d’Émotions de Candace Pert! Jean du Chazeau rajoute que la fameuse compartimentation, cerveau gauche et cerveau droit, est biaisée; et qu’elle n’est pas complètement vraie!

Candice Pert a découvert que des récepteurs de neuropeptides et de neurotransmetteurs se trouvent sur les parois cellulaires du système immunitaire, ce qui montre que les systèmes immunitaire et endocrinien sont modulés non seulement par le cerveau, mais aussi par le système nerveux central (et donc surtout par le système endocrinien).

« Chez l’animal, soumis a l’instinct (sexualité obligatoire et periodique), c’est deux parties glandulaires fonctionnent en opposition et en alternance, c’est le rut. Chez l’homme doué de libre arbitre, le fonctionnement de l’interstitielle se transforme mystérieusement en contrôle volontaire et libre de la fonction reproductrice et de la jouissance sexuelle ».

« Un enregistrement est impossible sans l’intervention hormonale thyroïdienne ».

La Thyroxine est responsable de l’oxydation cellulaire!

Suppression de la Thyroïde = Suppression des Émotions!

« Le Physiologiste américain Eayrs a montré en 1966 chez le chien, l’arrêt complet de la croissance du système nerveux cérébral après ablation de la thyroïde ».

« La section de tous les nerfs aboutissant aux organes sexuels n’abolit ni le rut ni la marche normale des organes ».

« Cette glande (la thyroïde) est douée d’un véritable pouvoir de sensibilité à distance manifestant un autre pouvoir: celui d’émettre et recevoir des micro-rayonnements électromagnétiques, comme l’a signalé le chercheur R. Endrös. Les substances hormonales génèrent non seulement de puissants effets biochimiques mais aussi des micro-champs électromagnétiques ».

Influence des cours d’eau souterrains sur les glandes endocrines (R. Endrös)

Normal
Stress sur la thyroïde et les surrénales des cours d’eau souterrain. Faiblesse sur le Thymus , la Pinéale, et la Génitale.
Stress sur la thyroïde et les surrénales des cours d’eau souterrain. Faiblesse sur le Thymus , la Pinéale, et la Génitale.

« La surrénale intervient pour neutraliser l’acide lactique formé dans les muscles ».

La glande génitale amène l’altruisme, la morale, la capacite de synthèse (et le génie), que la circoncision lui enlève… pour donner l’arnaque, le mensonge, le vol, la folie, la psychopathie…

L’Adrénaline s’oppose à la Thyroxine et inversement.

« Les hormones thyroïdiennes stimulent les ganglions lymphatiques, procurent leur vitalité aux globules blancs, produisent la fièvre qui n’est qu’une intensification de l’oxydation cellulaire, accélèrent les activités végétatives, enfin luttent contre les virus par l’intense métabolisme iode de la thyroïde ».

« La répulsion pour l’homme chez une femme est surtout acquise par un conditionnement ».

L’Endocrino-psychologie explique toutes les maladies mentales (névrose, suicide, bipolarité, schizophrénie), les déséquilibres, les problèmes (impuissance, frigidité, nymphomanie) et déviances sexuelles (fétichisme, sadisme, masochisme), les émotions, l’égoïsme, l’altruisme, la création des idées, les rêves, le sommeil (l’hypnose, la narcolepsie, la syncope, le coma, l’épilepsie, l’anesthésie), la pudeur, le courage, l’attention, la mémoire, le sens moral, la volonté, l’activité sensorielle…

« Le Scientisme du XIXe siècle a facilement pris le relais de cette erreur, trop belle occasion d’évacuer une âme spirituelle pourtant évidente au bon sens mais ô combien gênante parce qu’absolument inconnaissable par la science. Avec le cerveau, il devenait possible d’évacuer l’âme spirituelle; et l’existence indubitable de l’intelligence pouvais désormais ‘court-circuiter’ l’existence de cette âme encombrante dont la science n’a qu faire. L’intelligence devenait la pure émanation du cerveau. Ainsi se retrouvait-il nimbé d’une gloire usurpée, étant suppose être l’organe noble en qui se cache le secret de l’intelligence dont les neurosciences espèrent un jour percer le mystère » — Le secret dévoilé du corps et de l’esprit par Jean du Chazeau

« Avec la génétique, nous sommes tombés dans le même écueil qu’avec les neurosciences ».

« Il y a une illusion de croire que notre connaissance sera plus profonde et plus vraie avec une intrusion au niveau moléculaire ».

« La qualité s’applique à un sujet, la quantité à la matière. La methode expérimentale ne peut donc s’appliquer au sujet. L’homme n’est pas une pièce d’anatomie ».

« La surrénales n’agit donc sur la température que par l’intermédiaire de la thyroïde. Ce phénomène s’explique parce que la surrénale permet une constante désoxydation cellulaire qui empêche la saturation en oxygène. La surrénale est surtout une glande désintoxicante et désoxydante. Luttant contre les toxines microbiennes, elle neutralise l’acide lactique répandu dans les muscles par l’oxydation cellulaire thyroïdienne. Vaso-constrictive, elle tient sous sa dépendance le système nerveux parasympathique qui ne peut rien par lui-même. C’est elle qui a dressé le parasympathique aux stimulations organiques ».

La thyroïde augmente la respiration, donc elle est sollicitée dans un état de sommeil supraconscient où elle est supposée être en hypo-fonction; donc si la respiration forcée, force et fatigue les surrénales à la désoxydation et force la thyroïde (potentiellement faible) à l’oxydation… on peut comprendre qu’on puisse faire de l’hypertension entre autres… Mais c’est possible qu’il y ait un système supraconscient qui se déclenche naturellement qui régulerait tout cela!?!

Il dit bien que la Méthode Coué marche, ainsi que la Méthode Vittoz, et d’autres.

Méthode Vittoz… livre dispo sur Gallica.

Bonclusion

Alors, attention, va pas commencer à m’accuser de racisme… le sexe n’est pas une race (voir plus bas) et chacun a le droit de vivre… et vit sa vie. De plus Clint Richardson explique ce qu’est le mot ‘juif’ et comment ils ont inventé le concept de race… Mais perso, j’aime pas la dictature des minorités que le système nous impose, toujours l’Agenda 21…

Plantes Thyroïde et plus:

On pourra tester la gelée royale, la gugul (ayurveda), les extraits glandulaires (Opothérapie), les gésiers poule/canard (cru ou cuit ou déshydrater), huîtres et fruits de mer (?), la Lampourde glouteron (goitre);

La gugul, c’est de la résine, donc j’me dis que la résine de pin et la propolis peuvent éventuellement agir sur la thyroïde… dans les coup de moins bien et de fatigue… il faudrait tester la Propolis, et voir ce que ça fait! Tester aussi la Myrrhe! Pas étonnant que les encens remonte la Thyroïde et aide à la relaxation?!

On peut faire une aparté sur  l’Amanite, et d’autres champignons médicinales, comme l’Hydne Hérisson qui servent pour la régénération du système neuronale, des Surrénales et de la Thyroïde, ainsi que des Reins, de la Filtration rénale, et du système lymphatique en général?! En tout cas, c’est une voie à explorer et tester!

Mélange Thyroïde d’ABC de la Nature:

On voit que l’Ortie est vraiment une plante complète, il faut prendre l’absolue, pour les surrénales, la thyroïde et le système endocrinien en général, donc il faut aussi aller voir la famille des Lamiacées!

Tous les algues, séchées, voir crues et fraîches en magasins bio! Mais aussi les plantes de bord de mer (Romarin, Criste Marine, Salicorne voir aussi famille des Chénopodes), car il y a une atmosphère iodée; et bien sûr les Bains de mer, les séjours au bord de mer/océan, et les bains de pied!

Thyroid Support (formule du Dr Morse):

  • Kelp Frond (Durvillaea_antarctica), l’algue brune géante des régions sub-antarctiques,
  • Propolis,
  • He Shou Wu racine, Fallopia_multiflora, la Renouée à fleurs multiples, voir aussi la Renouée du Japon,  et son rhizome séché et les jeunes feuilles de cette renouée (voir Gérard Ducerf).
  • Saw Palmetto baie, Serenoa Repens ou « Palmier de Floride » ou « Chou palmiste »,
  • Butcher’s Broom racine ou le Fragon petit-houx ou Fragon faux-houx (Ruscus aculeatus),
  • Eleutherocoque racine, Eleutherococcus senticosus, Ginseng de Sibérie,
  • Chaste Tree baie, Vitex Agnus Castus ou Vitex, l’arbre au poivre, ou gattilier, « arbre chaste » en français. On en tire d’ailleurs une épice nommée « poivre des moines », c’est une espèce d’arbustes appartenant à la famille des Verbenaceae (Verveine) selon la classification classique, ou à celle des Lamiaceae (Lamier) selon la classification phylogénétique.
  • Bayberry racine, Myrica,
  • Schizandra baie, Schisandra chinensis, la graine aux cinq saveurs, wǔwèizi en chinois, adaptogène, ‘gomishi‘ en japonais et ‘omija‘ Corée, ‘limonnik’ en russe, améliore la vision et les capacités mentales, accroît la résistance physique, anti-fatigue, aphrodisiaque, antioxydant, régénérant hépatique, cardio-protecteur, anti-inflammatoire.
  • Prickly Ash Écorce ou Aralia_spinosa? ou Aralie?

Comme le Gattilier est utilisé pour la Chasteté, je pense qu’il influe sur la Glande Génitale Interstitielle (soumission si faible), Les pépins de courge pour la Prostate devrait aussi le faire, comme pour toutes les techniques d’ancrage du style Taï-chi, Chi-gong, Méditation, des actions altruistes, etc… pour les surrénales et l’hypophyse (mélange endocrine) voir les autres plantes de Morse…

Le bouquin de Gautier parle de protocoles et de dosage (ce n’est pas dans les 2 bouquins de Jean du Chazeau que j’ai lu) dans le dernier chapitre, de l’ordre du ‘mg’ pour la thyroïde, et du ‘cg’ pour les autres glandes, en ‘gramme‘ dans les cas grave. En prenant différents extraits en même temps, leurs effets se compléteront. Donc, c’est les extraits des 4 glandes respectives, il faut lire le chapitre car il faut savoir gérer!!!

Tous ces extraits doivent être pris 1h avant le repas, leur effet n’est vraiment intéressant qu’à cette condition. Il faut aussi penser aux parasites intestinaux! (une des choses que le Dr Morse adresse tout le temps!).

Évite le Soja qui va te pourrir la Thyroïde!

Évite tout revêtement et vêtement avec des retardateurs de feu! Sofa, plastiques, meubles, tapis, couvertures, faux lino, Gore-tex, Brome, Fluor (TEFLON) (inhibition la production d’hormones thyroïdiennes) ainsi que le Mercure, le Cadmium, le Plomb (peintures, tuyauteries) et les Pesticides (et le Triclosan), la Dioxine, TV/Ordi/Phone, etc…

Le plastique est perturbateur endocrinien.

« Les additifs ignifugés se retrouvent souvent concentrés dans les graisses des animaux notamment les poissons gras 48 et les mammifères marins 49. » (les fruits de mer?).

Pour jouir mais ne pas éjaculer, va voir du côté de Mantak Chia

Devant tout écran (TV inclus) protègent toi avec un tour de cou ou une écharpe anti-ondes…

Si t’as une carte d’identité, enlève la pastille sur la gorge/thyroïde, moi je conseille de détruire la CI et de prendre un passeport mais sur le passeport, il faudra contrer les hologrammes (par la radionique)… avec des runes de protection ou autres…

=== copier/coller jackfruit ===

Bonus: Les Races…

« En réalité, la « race » ne provient que d’un phénomène d’adaptation. Il ne s’agit donc pas de race. Pour le docteur Gautier, il est absolu­ment évident que nos fonctionne­ments physiologiques glandulaires sont seuls responsables des diversi­tés morphologiques et de couleur de peau. Le corps s’adapte pour vivre sous tous les climats. Les phénomènes héréditaires sont par­faitement incapables de maintenir longtemps des particularités physi­ques à l’encontre des forces climatériques. C’est la nourriture, le gen­re de vie et le climat qui imposent à l’organisme de s’adapter correc­tement pour maintenir intactes les constantes vitales et les caractéris­tiques fonctionnelles de l’espèce hu­maine : température, rythme car­diaque et respiratoire, métabolique, etc. Plusieurs faits le prouvent : on peut modifier des chiens par des extraits glandulaires : levrettes, bas­set, dogue de Bordeaux, danois. On peut modifier la croissance de l’en­fant par l’opothérapie : taille, mor­phologie, phanères, aptitudes intel­lectuelles et physiques ».

« Nous retrouvons des preuves cer­taines des fonctionnements glandu­laires dans les particularités ‘racia­les’. La taille varie selon la glande prédominante. Les hypophysaires sont les plus grands (1,80 m), en­suite les thyroïdiens (1,75 m), les surrénaliens (1,70 m), les génitaux (1,65 m). A chaque glande corres­pond des formes de tête : allongée et massive chez les hypophysaires ; très allongée chez les thyroïdiens ; courte et massive chez les surré­naliens ; moyenne et arrondie chez les génitaux. L’extrait thyroïdien blanchit les plumes des poules, particularité héréditaire (Sainton et Simonnet). La sécrétion mélano-dermique de l’hypophyse injectée à une grenouille la colore en noir en 24 heures. Nous connaissons tous la mèche et les cheveux blancs des hyperthyroïdiens. On a remarqué qu’un grand effort prolongé brunis­sait la peau par hyper-surrénalisme. L’hypophyse peut donc amener une couleur noire de la peau, la surré­nale un brun bleuâtre, la génitale un brun-rougeâtre ».

« Le régime glandulaire influence aussi la forme du visage, la lon­gueur des membres, la morpholo­gie musculaire, celle des mains et des pieds, des dents, la constitu­tion des poils, la forme des yeux, leur grandeur, leur brillance résul­tent de nos fonctionnements glan­dulaires. Ces constatations font pen­ser que la « race » est la consé­quence des fonctionnements corres­pondant à une adaptation aux con­ditions d’existence.

Ces interprétations ont permis à Jean Gautier d’identifier des peu­plades comme les Pygmées qui ont tant intrigué les anthropologues. Ce sont des hypo-glandulaires qui s’ap­parentent aux myxœdémateux dont ils présentent presque toutes les particularités : taille, longueur du buste, tête massive, et sans expres­sion, yeux petits à demi fermés, ombilic ressorti… En revanche, les Boshimans sont des hypophysaires très nets.

Dès 1919, Keith pensait que les Mongols étaient des hypo-thyroïdiens. Des recherches ont montré que le poids moyen de la thyroïde chez les Japonais serait de 13,8 g contre 39,4 chez les Européens. L’histologie montre que la thyroïde du Mongol adulte présentait l’as­pect d’une thyroïde d’embryon eu­ropéen et était remarquable par ses caractères primitifs. Un chercheur Américain, Bénédict, montra chez des Chinoises un métabolisme infé­rieur de 9 % à celui des Américai­nes, résultat qui aurait été retrouvé chez d’autres auteurs. M. Fontaine conclut que ces recherches conver­geaient en faveur d’une hypothyroïdie des jaunes asiatiques ».

« Beaucoup, écrit Gautier, pensent que les Chinois sont jaunes à cause de leur origine raciale. Le docteur Legendre qui a parcouru la Chine dans tous les sens a écrit : « Dans les villages, dans les plus grandes profondeurs de la Chine, j’ai vu des blancs très purs, des négritos très nets, et, entre eux tous les métis que l’on peut supposer ».

« La coloration jaune (1) des asia­tiques est due à un manque d’oxy­dation qui ne parvient pas à dé­truire les 5 milliards de globules rouges qui meurent chaque jour ; il en résulte une certaine quantité de composés organiques ferriques non réduits d’où la coloration jau­ne plus ou moins marquée. Celle-ci, est due au genre d’alimentation comportant beaucoup de produits fermentés ou conservés comme la viande de chien, de porc et le pois­son tandis que la manipulation continuelle d’excréments humains les prédisposent aux infections hé­patiques qui sont chez nous cause de jaunisse.

Les hommes qui vivent dans les pays froids ont un métabolisme basal supérieur aux autres hommes, c’est le cas des Esquimaux. La thyroïde doit s’activer pour réchauffer le corps, donnant ainsi une forte tendance thyroïdienne (nordiques). Le sujet est grand, longiligne, les muscles longs, la tête allongée et surtout ovalaire, les mains et les pieds lancéolés, les poils sont fins et poussent rapidement, la peau est à grain fin, le derme est peu chargé de graisse.

Puisqu’on sait que la thyroxine blanchit les phanères et éclaircit la peau, il est normal de penser que les thyroïdiens et surtout les habi­tants des pays froids soient blonds, aient les yeux bleus, les cheveux longs, soyeux, généralement lisses et peu ondulés.

Quant aux noirs ils habitent les régions chaudes et leur couleur pro­vient de l’hypophyse. Pour lutter contre la chaleur, la thyroïde ra­lentit son activité. Pour suppléer à cette carence thyroïdienne qui se­rait préjudiciable (myxœdème) l’hy­pophyse s’active grandement dans les pays très chauds et très secs. Cette activité glandulaire s’accom­pagne d’une taille élevée et d’une coloration noire due à une hormone mélano-dermique. Cette couleur noi­re protège des rayons ultra-violets.

Il est facile de voir que tous ces phénomènes physiologiques d’adap­tation ne peuvent justifier la no­tion de race. Il n’existe pas de « races » humaines. Il serait cepen­dant vain d’imaginer que ces diffé­rentes adaptations n’aient pas d’in­cidence particulière sur les différen­tes aptitudes physiques et intellec­tuelles. Ceci est une autre question ».

6 commentaires sur “Endocrino-psychologie

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